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 Greg - 'Cause it's too cold for you here and now, so let me hold both your hands in the holes of my sweater...

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Greg Walks
Greg Walks

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MessageSujet: Greg - 'Cause it's too cold for you here and now, so let me hold both your hands in the holes of my sweater...   Greg - 'Cause it's too cold for you here and now, so let me hold both your hands in the holes of my sweater... EmptySam 31 Aoû - 20:17


Greg Clyde Walks
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introduction

nom Walks. prénom Greg. âge 36 y.o. lieu de naissance Dundee. statut social Marié relativement instable. Beau-papa poule. orientation sexuelle Hétérosessouel. métier/étude Mécanicien/ Ancien Soldat en Iraq renvoyé trop tôt à son goût/ A son grand dam, rien du tout du côté scolaire. quartier d'habitation Logie. caractère Instable. Sociable. Bourru. Marrant. Autoritaire. Sentimental. Fier. Jaloux. Macho. Charismatique. Têtu. Franc. Direct. Protecteur. Désorganisé. Emporté. Frustré. Tactile. Possessif. Versatile. Amer. Masculin. Colérique. Bagarreur. Sous-estimé (intellectuellement). Complexé. Croyant Perdu. groupe Mistakes. célébrité Tom Hunky Hardy.

histoire


-Non !

Dans un coin du vestiaire à peine éclairé par une misérable ampoule, seule survivante à des années d’entretient relativement inexistant des lieux, la bouche mollement ouverte sur un visage poupin et presque parfaitement rond, tes petits yeux encore tout embués de la stupidité des nouveau-nés grand ouverts, un minuscule chausson rose sur ton pied, l’autre gisant contre des casiers griffés, tu t’étais réfugiés sous un banc au verni écaillé. Dos arrondit, ton petit corps à peine âgé de cinq ans replié en une boule inerte, à travers la poussière qui tombe au-dessus de toi comme la neige en plein décembre, tu regardes ton horizon réduit aux trente centimètres de hauteur que tu laissais ta capuche où une paire mollets particulièrement impressionnants, moulés dans un jeans, s’approche avec de la menace dans la rotule de jambe particulièrement fines, fermement plantées dans leur collant rosé. Leurs mouvements semblent répéter en échos dans leur propre langue les paroles que leurs propriétaires hurlaient bien au-dessus de toi.

-Quoi ?

-Mon fils ne fera pas de danse !

-Faut bien qu’j’en fasse quelque chose, moi, quand j’donne mes cours… Hé bah, il y participera…

-Non !

-Et pourquoi pas ?

-La ferme, Thalie !

-J’en fais bien, d’la danse, y’a pas d’raison…

-J’t’ai dit de fermer ton claque-merde ! Toi, c’est normal, t’es une chatte…

-Une femme, Stan, je suis…

-Mais c’est pareil, bordel ! Sainte Merde des Dieux, entre tes putains de cuisses, là, t’as bien une chatte, nan ? Et c’est bien l’seul truc avec lequel t’es à peu près douée dans ta putain de p’tite vie d’merde, ta chatte…

- Et si seulement toi tu savais quoi en faire, d’ma chatte…

-Tu veux vraiment que j’te latte la gueule ?

-J’veux juste que tu remontes dans ton putain de camion et que tu te barres de la vie de mon gamin.

-C’est tout c’que t’es. Une chatte. Et Greg, il en a pas, lui, malgré c’que tu voudrais. Il n’en est pas une, tu m’entends ? Tu f’ras pas d’lui une chatte. Et encore moins une tapette. Il fera du rugby. Point barre.

-J’f’rai de lui c’que j’veux, Stan. C’qu’j’veux. Parce que, c’est toi qui va l’conduire aux entraînements, p’t’être ? Nan, j’crois pas. J’me f’rai pas chier, Stan. Et moi, j’ai pas l’temps. J’ai pas l’argent. J’ai pas l’envie ni la force, tu captes, ça, un peu ?

-Arrête, tu fous rien d’tes journées…

-Ta gueule. La bouffe, tes fringues, le ménage, tu crois qu’c’est magique ? Qu’y a une licorne qui s’ramène, qui pète un arc-en-ciel et met tout parfait pour quand tu t’décides à rentrer poser ton gros cul sur le canapé et vider le casier de bière ?

-Thalie, arrête de faire ta pisseuse, c’est dégueu’ chez nous…

-Chez moi. Stan. C’est chez moi, ok ? Là-bas, t’y es que toléré…

-Et c’est qui paie le loyer ? Hein ? C’est qui ? P’tite conne. Si j’partais pas, t’aurais rien, tu crèverais dans la rue et tu croquerais un bout du gosse pour survivre quand les poubelles seraient pas assez remplies. T’es qu’une pute, en vrai. Tu m’pompes mon fric en même temps qu’le reste. Et encore. T’es pas la super-promo du mois, parce que, les putes, les vraies, c’est pas c’qui manque sur le bord d’l’autoroute, t’en fais pas, j’ai l’temps d’me faire tout l’catalogue, mais, elles, au moins, elles rechignent pas à ouvrir d’la bouche ou du cul…

-C’est ça, tu peux crever pour que j’fasse quoique ce soit avant qu’tu te sois passé au désinfectant…

-J’vais t’montrer, moi, comment j’veux t’passer au karcher…

Un morceau d’étoile tombe sur le sol et meurt dans une lueur rouge. Tu la fixes sans ciller. La clope que ta mère avait sans doute gardé en main pendant l’échange, pour avoir l’impression de contrôler quelque chose dans son couple.

Des chuintements éclaboussent le silence pesant.

Tu restes dans ton coin, sourcils froncés. Tu comprends pas. Pourquoi ils n’arrêtent pas de parler de chat ? Peut-être qu’il veut t’en donner un. Tu serres un peu plus fort tes lèvres. T’es pas content. Tu préfères les chiens. Tu sens ce truc qui te pique les yeux, cette eau de mer sous tes paupières, et que tu dois faire attention à ne pas laisser déborder. Pas comme la dernière fois. Quand ton père avait dû te « montrer comment on d’vient un vrai mec ». Le souvenir plus que ta conscience à peine formée mène ta main jusqu’à ta joue, que tu sens presque encore cuire de la gifle. Sa façon à lui d’essuyer les larmes, sans doute.

Tu vois le jeans salit qui se rapproche des jambières. Un tutu, son tutu, tombe, déchiré par des mains, ses mains, un peu trop brutales.

La cigarette s’est éteinte. Les cris ont repris. Moins compréhensibles. Moins raisonnés aussi. Tu entends les casiers qui s’agitent. Tu as peur et restes là, sans bouger, apeuré par tout ça, par ce qui ne pouvait être qu’un fantôme, qu’un croquemitaine, qu’un écologiste. Tu savais pas trop ce que c’était, mais à la façon dont ton père en parlait, tu supposais que c’était quelque chose de particulièrement horrible.

Tu inspires les bouffées de vapeur cancérigène déjà tiède.

C’est le début. Le début de toi, de tout. Et tu ne le sais pas encore, mais tu espères du fond du cœur que ça ne sera pas aussi ta fin.


Ta mère voulait une fille. Ton père voulait un homme.  Manque de bol pour tous les deux, ils n’ont eu qu’un bébé. Et c’est peut-être lui qui aura eu le plus de mal à s’(in)adapter à ce statut.

Greg.

Une syllabe. Ta vie.

Ils avaient voulu un prénom court. Commun. Facile. Marketting. Un truc simple.

Simple. Ca avait un peu été le leïtmotiv de l’éducation qu’on t’a dispensé. Direct. Pratique. Masculin. Dans la norme. A coups d’injections de testostérone culturelles, depuis les gouttes de bière dans le biberon pour que tu dormes mieux jusqu’au père qui exigeait presque que tu prennes la plus grande chambre de votre appartement miteux pour mieux recevoir les jeunes filles à peine pubères que tu coinçais entre tes cuisses sculptées par bien trop d’années doublées passées pilier gauche de l’équipe de rugby du lycée, en passant par la quasi-lobotomie cathodique via la chaîne de sport en permanence sous les yeux, volume mis au maximum, et le premier tatouage offert, voire imposé, à tes quatorze ans.

Et si ses opinions avaient régenté absolument toute ta vie de la conception à ton misérable foirage à l’examen que tes années doublées, petit superpouvoir de duplication que tu t’étais octroyé, t’avaient fait passer à tes dix-huit ans au lieu des seize préconisés, ton père n’a jamais été ce qu’on pourrait définir comme une personne présente.

Toujours sur les routes, loin de la maison, loin de vous, ses retours étaient rares et franchement peu attendu. Une exception, une explication ?, à cette distance entre vous.

Un an.

Un sept à huit te concernant.

Un an d’odeur de sapin en plastique accroché au rétro, de tableau de bord clignotant, de klaxon compressé contre tes paumes jointes mais encore si petites. Un an de ton père. Un an de perdu.

Un an de blagues grivoises que tu étais à peine capable de comprendre, de grognements, de baffes, de concours de crachat et de rots, de jurons à imiter, de bruits mouillés à faire semblant de ne pas entendre à l’arrière du camion, quand il pensait que tu dormais. Un an sur les routes.

Et malgré tout le chemin parcouru, un an de retard, sur tout le reste.

C’est l’excuse que ta mère trouvera à tes échecs à répétitions, là où tu voyais au fil des ans s’effacer les thèses du complot, de la prof de math aux ovaires trop desséchés pour dégager suffisamment d’hormones à ta vue, des entraînements bien moins interminables que les fêtes, les orgies, qui les suivaient et t’arrachaient, pauvre enfant, à tes devoirs sous le regard de tes coéquipiers sans aucun doute jaloux, pour, peu à peu, avec le temps et les regrets, révéler le vrai problème. Les armures étaient tombées, façon poupée russe, chaque fois plus petites, plus difficiles pour toi à te cacher derrière, de moins en moins crédibles, jusqu’à te laisser totalement nu devant à cette simple vérité : tu étais stupide.

On t’avait toujours martelé ça dans le crâne, de toute façon. Ce On qui n’était rien d’autre que l’alter-ego de ton père. Tu ne devais même plus être un homme. Tu devais être plus que ça. Plus qu’un homme, moins qu’un humain, tu te, lui, devais d’être un Mâle. Et qu’est-ce qu’un vrai mâle pouvait bien avoir à foutre des bouquins, de la culture ou des bonnes notes, quand il avait un pénis et ses deux burnes en état de fonctionner, de quoi le vidanger de temps en temps et un bon vieux whisky des Highland sous la banquette de sa bagnole ? Rien. Du moins, c’était la réponse de ton patriarche. Et tu avais toujours triché sur sa copie à ce genre de questionnaire.

Tu découvrirais bien trop tard l’erreur commise.



Les cris autour de toi. Des soldats. Partout. Les bruits de balle. Les mouvements deviennent flous. La tension monte. L’adrénaline éclate ta raison contre l’animal qui gronde en toi. Contre le Mâle. Contre le Mal.

Tu tires.

Un goal. Les traces de boue séchée qui recouvre ton visage mal rasé craquèlent sous le sourire que tu infliges à tes traits tirés. Quatre jours que tu es dans ce camp en Iraq. Quatre jours de poussières, de matériel à monter, d’attente. La concrétisation de trois ans de formation. A la dure. A l’ancienne. A l’homme.

Demain, tu fêteras ton vingt-et-unième anniversaire. Tu as comme l’impression que tu n’auras pas vraiment à t’attendre à un gâteau. Dans le meilleur des cas, on t’indiquera le chemin pour le bordel le plus proche. Dans le pire, on te donnera la carcasse d’un petit animal pour te décharger derrière les dunes.

Aujourd’hui, sans ordres, ni renseignements, un T-shirt roulé en boule et vous vous improvisez footballers. Ta seule victoire. Ta seule bataille, à vrai dire.

Trois ans. Mille nonante-cinq jours de rêve, d’espoir, de camarades et de combats contre des ennemis imaginaires. Vingt-six mille deux cent quatre-vingt heures de sueur, de boue, de sang et de rire. Une seconde. Un tir. Leur première balle. Dans ta cuisse. Une seconde. Une seconde pour te perforer la peau. Une seconde pour t’arracher l’âme avec. T’avais pleuré. Ouais. Mais pas à cause de la douleur. Non. Ce qui t’avais fait mal, à en crever, à en chialer, c’était ces putains de gars qui t’avaient éloigné.

Rapatrié. Urgence. Humiliation.

Tu avais renoncé à l’avenir. A ce papier qu’on avait voulu te faire signer après le championnat. A la première page de cette feuille de chou régionale sur tes exploits sportifs. Renoncé aux diplômes, aux contrats, aux MST universitaires, les crampons en dors incrustés rubis et les beuveries entre colocataires de chambre d’hôtel quatre étoiles. Tu avais troqué. Tout. Rien, en quelque sorte. Contre la Gloire, contre les courbatures, contre le camp et les treillis. Contre les héros dont tu comptais bien faire partie, contre l’Homme qui tu croyais être devenu.

Les miettes de tes rêves te furent rendues en guise de monnaie. Une sale odeur de regret et de gazole par-dessus.

derrière l'écran

pseudo Zadig. prénom Simon. âge 16, bitches. tu vis où Belgique, et oui. comment as-tu connu le forum Bazzart :waw: . qu'est-ce que tu en penses BWAH. :blaze:  scénario ou inventé Scénario :he:  (pioché chez la Tamy). un truc à dire Pastèque ?

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Dernière édition par Greg Walks le Mar 3 Sep - 16:25, édité 2 fois
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Lewis MacKinnon
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GOSH, tu vas faire une heureuse toi !
Bienvenue iciiii :waw: 
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OHMONDIEU OHMONDIEU OHMONDIEU :waw: :waw: :waw: :waw: :waw: :waw: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :waa: :waa: :waa: :waa: :waa: 
déjàààààààààà, rah, je suis aux angeeeeeees :bave: :bave: :sex: :sex: 
merci merci merci d'avoir pris mon scénario, je suis trop contente, héhéhé :**: :**: :douche: :mama: *invasion de smileys* XD

Si tu as la moindre question, ou quoi que ce soit, n'hésite surtout paaaas, je suis à ton entière disponibilitéééé :pray: 
Et puis bienvenue au fait hein :rire: trop hâte de lire ta fiche :**: 

Et par contre je me demandais.. tu faisais partie des membres à prévenir de la pré-ouverture sur bazzart ? :hmm: parce que je ne reconnais pas ton pseudo :rire: 
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Bryséis-J. Fergusson
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MessageSujet: Re: Greg - 'Cause it's too cold for you here and now, so let me hold both your hands in the holes of my sweater...   Greg - 'Cause it's too cold for you here and now, so let me hold both your hands in the holes of my sweater... EmptySam 31 Aoû - 20:39

OOOOH LE GREGOUNET DE MA POISSOUUUH *standing ovation*
Tu vas pas regretter d'avoir pris ce scénar' poissouh c'est la meilleure :heygirl: 
Bienvenue ici en tout cas et bon courage pour ta fiche !
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Greg Walks
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MessageSujet: Re: Greg - 'Cause it's too cold for you here and now, so let me hold both your hands in the holes of my sweater...   Greg - 'Cause it's too cold for you here and now, so let me hold both your hands in the holes of my sweater... EmptySam 31 Aoû - 20:53

Lewis : Oh ton avatar :waw: J'y compte bien :waw: Merci :sniff: 


Tamara : :he: 

On a jamais assez de smiley :crazy: 

Ravi de pouvoir faire plaisir :leche: (oui, smiley plus que tendancieux :he:  ) J'ai longuement hésité entre lui et Alex :yata: J'espère que je conviendrai, du coup :oups: J'vais vite m'lancer dans tout-ça :blaze:

Oui, j'ai zappé de mettre celui de Bazzart :rire: Chui Beatles Juice :blaze:  

Bryséis : Frida :whoof: Je prend note :heygirl: Merci :**: 
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Ahahha ça va alors si tu aimes les smileys :rire: 
HAN ou comment rendre un smiley que je trouvais innocent totalement pervers :rire: :leche: -> je ne le verrais plus jamais de la même façon XD
Ohh ben je suis ravie de voir que mes scénarios te plaisent :**: Et y a pas de raisons que tu ne conviennes pas I love you 
ahhhhh d'accord, je comprenais pas :rire: je me disais "mais j'ai pourtant posté nul part" XD *la fille qui perd la tête* XD
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Aaah thanks, et le tiens... gosh soo hot ! :coeur: 
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Summer H. McDonaghan
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Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.
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Oli Dwaine
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toooo[...]oooom, vraiment trop sexy. sexy lips. :admire: 
bienvenue, si tu as des questions, n'hésite pas.
:threesome: 
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Tamara Walks
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n'ayant pas nouvelles depuis plus d'une semaine, je déplace la fiche :sniff:
si dans une semaine nous n'avons toujours pas de nouvelles, nous supprimerons ton compte :cute: 
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MessageSujet: Re: Greg - 'Cause it's too cold for you here and now, so let me hold both your hands in the holes of my sweater...   Greg - 'Cause it's too cold for you here and now, so let me hold both your hands in the holes of my sweater... Empty

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